lundi 22 octobre 2018

samedi 13 octobre 2018

Rencontres francophones de l’Institut Tchobanian

Rencontres francophones
de l’Institut Tchobanian
2e session 2-9 octobre 2018
Arménie-Artsakh


Dans la continuité de son programme « Francophonie en Arménie », l’Institut Tchobanian, qui en avril 2018 avait invité trois auteures, a, cette fois, invité trois auteurs pour leur faire découvrir l’Arménie et l’Artsakh.

Ainsi Jean-Michel Vernochet, Youssef Hindi et Emmanuel Leroy (accompagné de son épouse) ont été accueilli à Zvartnotz le 1er octobre, par Varoujan Sirapian (président de l’Institut Tchobanian) et Arthur Turyan (Trésorier de l’Institut Tchobanian).

Trois conférences francophones et trois excursions ont été programmés par l’Institut Tchobanian avec la participation des Editions Sigest.

Le 2 octobre les invités ont découvert le temple de Garni, le monastère de Keghart et le monastère de Sevanavank.
E. Leroy, JM Vernochet et Y. Hindi à Garni
Au monastère de Keghart


Le 3 octobre les trois auteurs ont été accueillis à l’Université V. Brusov. Comme en avril, les sujets abordés par les trois auteurs ont suscité beaucoup d’intérêts dans le public composé d’étudiants et aussi des professeurs. JM Vernochet a abordé le sujet de son dernier livre « En l’an 68 », la révolution de mai 68 en France. Youssef Hindi a parlé de son livre « La mystique de la laïcité ». L’intervention d’Emmanuel Leroy était basée sur l’influence de l’idéologie anglo-saxonne dans l’Occident. Les nombreuses questions des auditeurs ont permis ensuite d’élargir et approfondir les sujets.
A l'université V. Brusov, Erevan

Le 4 octobre les invités ont entamé leur visite « Erevan tours ». Ils ont découvert le musée et le fort d’Erebuni, faisant une halte auparavant à la Gare d’Erevan. 

Devant le statut de David de Sassoun, près de la Gare d'Erevan


Après la visite du musée un spectacle de chant et de danse a beaucoup ému les visiteurs qui se sont dit « plongés dans 2000 ans d’histoire ». 

A la forteresse d'Erebuni

Ensuite la délégation s’est rendue au Musée du Génocide pour prendre connaissance de nombreux documents et aussi rendre hommage aux victimes du génocide de 1915. 

A Dzidzernagapert, au mémorial du Génocide des Arméniens de 1915

La tournée s’est terminée au musée Matenadaran où les invités ont découvert les nombreux livres et miniatures, véritables trésors.
Devant le Matenadaran
      
Le 5 octobre les trois auteurs se sont intervenus à la Bibliothèque Issahakian, dont l’Institut Tchobanian est partenaire pour enrichir la section française. Comme à l’Université Brusov, ici aussi Sigest a offert plusieurs livres qui viendront augmenter le fond de livres français.
A la bibliothèque A. Issahakian

Le 6 octobre un long périple a commencé tôt le matin qui devait emmener la délégation de six personnes à Stepanakert. 

La première étape était Khor Virap avec un magnifique Ararat dont les sommets Sis et Massis se dégageaient sur un ciel bleu.
Près de Khor Virap

Ensuite la délégation a visité le monastère de Noravank. Ce jour-là étant celui de la fête du vin (le village Areni n’est pas loin) nombreux touristes locaux et étrangers avaient profité de l'occasion pour visiter le site de Noravank. 
A Noravank, région de Vayotz Dzor.

A ce propos il serait judicieux que le ministère de la Culture interdise l’accès aux fameuses marches de l’église supérieure. Ces marches ne sont pas un terrain de jeu et à ce rythme vont vite se dégrader sous les pieds (parfois en talon haut) des touristes.

Après un déjeuner agréable au bord d’un lac le minibus a pris la direction de Stepanakert où la délégation est arrivée vers 19h.

Le dimanche 7 octobre a été réservée aux différentes visites (Gandzassar, Askeran, Tigranakert…)
Devant le monastère de Gandzassar Gricha fait son show.

A Askeran, Artsakh.

Le soir une rencontre informelle a été organisée entre la délégation et Artak Beglaryan, l’Ombudsman de la République d’Artsakh.
Le point d’orgue de ce séjour a été la rencontre avec le ministre des Affaires étrangères de l’Artsakh, Masis Mayilian, le 8 octobre. Une rencontre qui a duré plus de 1h30 pendant laquelle V. Sirapian a d’abord présenté les actions de l’Institut Tchobanian en faveur de l’Artsakh ainsi que les différentes publications sur le sujet par les éditions Sigest, la revue Europe & Orient et de livres divers. Ensuite tour à tour les trois auteurs ont pu poser de nombreuses questions géopolitiques auxquelles le ministre a répondu d’une façon détaillée.
La délégation avec le ministre des Affaires étrangères d'Artsakh, Masis Mailyan 

Sur la route de retour par Vartenis la délégation a visité le monastère de Dadivank et a eu le plaisir de partager un moment agréable et très émouvant avec le moine-soldat Père Hovhannès. 
Avec le Père Hovhannès prieur du monastère de Dadivank 

En effet en avril 1993 Hovhannès, à l’époque azadamardig (combattant pour la liberté) faisait partie de la section qui a libérée le monastère de Dadivank en expulsant les kurdes et les azéris qui l'utilisait comme maison et écurie.
Après une halte déjeuner autour du Lac Sevan la délégation est rentré à Erevan.
Le 9 octobre, la dernière conférence a eu lieu dans l’amphithéâtre de la Bibliothèque Nationale d’Arménie. Comme partout ailleurs les auteurs ont rencontré un public (plutôt féminin) très attentif et ont répondu à de nombreuses questions. La rencontre s’est terminée avec la visite du musée de l’imprimerie arménienne qui jouxte la Bibliothèque.
Dernière conférence à la Bibliothèque Nationale d'Arménie, Erevan

Le lendemain, 10 octobre, V. Sirapian a accompagné la délégation à l’aéroport de Zvartnots pour retour à Paris. Nous sommes convaincus que nous reverrons ces auteurs bientôt en Arménie pour d’autres occasions. 

Retour à Paris

Ce n’est qu’un aurevoir.    

jeudi 11 octobre 2018

Offensive contre la prédation sociale et politique


Politique-Eco n°186 avec Valérie Bugault : 
Offensive contre la prédation sociale 
et politique






TVL : Pierre Bergerault reçoit Valérie Bugault pour la présentation de son ouvrage “La nouvelle entreprise”. Une théorie juridique pour rééquilibrer les forces au sein du monde du travail et permettre à l’Etat de redevenir le garant du bien commun.



"The Movement" dévoilé

Youssef Hindi dévoile les origines de 
THE MOVEMENT  




- Le 25 septembre 2018 je dévoilais les origines de The Movement, ainsi que l'identité de son véritable fondateur (l'agent israélien Mischael Modrikamen) :

- Le 1er octobre 2018, le journal L'Express reprend les informations que j'ai révélées (en taisant les liens entre The Movement et Israël) : https://fr.express.live/…/le-relais-de-steve-bannon-en-euro…

- Le 5 octobre 2018, on apprend par L'Express que Marine Le Pen et Marion Maréchal (ainsi que Salvini et Orban) déclarent prendre des distances avec The Movement : https://www.lexpress.fr/…/steve-bannon-persona-semi-grata-a…


Conclusion : 

Mes recherches et analyses (jamais citées par ceux qui les reprennent) sur la tentative de récupération des mouvements nationalistes européens par Israël posent manifestement problème aux nationalistes israélo-compatibles, qui se voient contraints de s'éloigner "officiellement" de cette création israélienne qu'est The Movement


Youssef Hindi
11 octobre 2018



Youssef Hindi est l'auteur de :

Occident et Islam, Tome I et Tome II
Les mythes fondateurs des Choc des civilisations
La mystique de la laïcité

chez les Editions SIGEST