vendredi 29 novembre 2013

L’audience belge pour le journaliste arménien Cevat Sinet

Laudience belge pour le journaliste arménien Cevat Sinet le 4 décembre

 
Bruxelles, 28/11/2013 
 
 
 
Un journaliste arménien, Cevat Sinet, soumis à plusieurs pressions et menaces en Turquie, avait demandé en septembre le statut de réfugié politique en Belgique avec son épouse et leur bébé nouveau-né.

Son audition devant le CGRA aura lieu le 4 décembre 2013 en présence de son avocate Charlotte Seyen.

A popos de cette audition, Sinet dit: “Il s’agit d’une audition qui déterminera notre sort. En raisons de mes articles j’ai été pris comme cible par des milieux qui sont coupables de l’assassinat du journaliste arménien Hrant Dink. Si nous serons obligés de retourner à la Turquie, on pourra témoigner un nouveau cas de Hrant Dink. Nous attendons une décision juste des autorités belges.”

En effet, Sinet avait fait l'objet des procès en Turquie en raison de ses révélations concernant l'assassinat d'un soldat d'origine arménienne, Sevag Balikçi, dans une unité militaire le 24 avril 2011, l'anniversaire du génocide arménien de 1915.

Le meurtrier présumé Kivanç Agaoglu et ses avocats, İbrahim Gök et Hüseyin Karaboğa, ont déposé des plaintes contre Sinet quand il a demandé aux autorités comment les responsables de la mort de Balikçi n'ont pas été condamnés malgré la présence des preuves indéniables.

Quand les pressions et menaces contre Sinet s'intensifient, ses amis et plusieurs défenseurs des droits de l'Homme ont lancé une campagne de signature intitulée "Le journaliste Cevat Sinet n'est pas seul!"

Récemment, Cevat Sinet a décidé de se rendre en Europe et a introduit une demande de statut de réfugié politique en Belgique.

Cevat Sinet a déjà fait objet des autres discriminations en raison de son origine, voici quelques exemples parus dans les bulletins Info-Türk:

Pas de carte d’handicapé pour les Arméniens en Turquie

Cevat Sinet résidant de Batman s’est adressé aux services sociaux de sa ville pour obtenir une carte d’handicapé. Le fonctionnaire a refusé de lui en faire une en raison du fait qu’il était arménien. Cevat Sinet n’a pas obtenu gain de cause auprès des cours de justice locales et a décidé de porter plainte devant la Cour européenne des Droits de l’Homme. 

Selon le journal Evrensel le fonctionnaire des services sociaux a dit « Vous êtes un arménien, il est dit ici que vous êtes un Chrétien donc vous ne pouvez pas obtenir une carte d’identité pour handicapé ». Sinet déposé plainte pour racisme et remarque discriminatoire. 

Cependant le ministère public n’a trouvé « aucun motif pour agir » et a décidé le renvoi de la plainte. L’article dans Evrensel déclare que Cevat Sinet a décidé de faire appel à la Cour européenne des Droits de l’Homme car il n’a pû obtenir gain de cause via les procédures nationales légales. 
 

 

samedi 2 novembre 2013

ATAHOLDING International Financial Reporting

Document :

“ATAHOLDING”

OPEN JOINT-STOCK

COMPANY


International Financial Reporting

Standards Consolidated Financial

Statements and Independent Auditors’ Report



For the year ended December 31, 2009


Go to this link to download the PDF report

https://drive.google.com/file/d/0BwZ3irIs5jbJNDdmUlk4LTJWc1k/edit?usp=sharing

vendredi 1 novembre 2013

Russian Troops will Retaliate if Azerbaijan Attacks

Russian Troops in Gyumri will Retaliate if Azerbaijan Attacks



Russian Air Force officers march in Yerevan airfield earlier this month


YEREVAN–Russian troops stationed in Armenia could openly side with it in case of a renewed Armenian-Azerbaijani war for Nagorno-Karabakh, according to their top commander, Colonel Andrey Ruzinsky.


“If Azerbaijan decides to restore jurisdiction over Nagorno-Karabakh by force the [Russian] military base may join in the armed conflict in accordance with the Russian Federation’s obligations within the framework of the Collective Security Treaty Organization (CSTO),” Ruzinksy told the Russian Defense Ministry’s “Krasnaya Zvezda” newspaper in a recent interview.


Ruzinksy answered a question about the mission of the Russian base headquartered in Armenia’s second largest city of Gyumri.

That mission was upgraded by a Russian-Armenian defense agreement signed in 2010. The agreement extended Russia’s basing rights in Armenia until 2044. It also committed Moscow to supplying its South Caucasus ally with more weapons and military hardware.

The Russian base, which numbers between 4,000 and 5,000 soldiers, has since been bolstered with modern weaponry, reportedly including Iskander-M tactical ballistic missiles. The Russian military also plans to deploy combat helicopters there soon. The Russian air force unit in Armenia currently has 16 MiG-29 fighter jets.

Armenian officials and pro-government politicians have claimed before that the 2010 defense pact mandates direct Russian military involvement in the Karabakh conflict if Azerbaijan acts on its threats to reconquer the disputed territory. Russian officials have not explicitly confirmed this in their public statements made until now.

The Russian troops in Armenia hold joint exercises and trainings with Armenian army units on a regular basis. Around a thousand soldiers from the two armies, backed up tanks, helicopters and artillery systems, practiced a joint military operation as recently as in August.

According to Ruzinsky, more such war games are planned for next year. “I believe that we need to further develop our field cooperation, if I may put it way,” he said.

The Russian base commander also revealed to “Krasnaya Zvezda” that a group of his senior officers and their Armenian colleagues recently jointly toured “areas of combat engagement.” “We plan to increase such activities next year,” he said without elaborating.