Les “élites” et les financiers derrière Greta
Greta Thumberg était à Davos, au milieu des grands
et puissants de ce monde pour faire entendre sa verte voix… et des
paroles que d’autres lui susurrent à l’oreille.
La pauvre Greta fait pitié, veau d’or exhibée dans
la ville suisse des milliardaires par quelques pseudo-philanthropes
fort intéressés par leur porte-monnaie. Si son visage boudeur ne génère
ni sympathie ni empathie humaine, il n’en est pas moins vraie qu’elle
reste une jeune fille de 17 ans, transformée en marionnette de la
nouvelle finance verte par les mains cyniques d’une ambitieuse famille
libérale suédoise.
Derrière ses tresses blondes et son langage
incendiaire se cache en effet un projet de centaines de milliards
destinés à changer la production occidentale et à générer de colossaux
investissements, qui riment avec bénéfices.
Derrière Greta, il y a tout un business qui ne
vise pas à une saine conscience écologique mais à amplifier les
angoisses et à faire craindre à la masse humaine un changement
climatique apocalyptique produit exclusivement par l’erreur humaine,
pour mieux gouverner un monde global.
Pour découvrir qui finance et donne de la voix à
cette jeunesse manipulée, commençons par Mark Carney, le brillant
gouverneur de la Banque d’Angleterre démissionnaire et prêt, fin
janvier, à assumer le rôle d’ « Envoyé des Nations Unies pour l’action
climatique et la finance », titre qui a lui tout seul montre bien la
collusion entre la haute finance internationale et l’idéologie du
changement climatique. Carney siège à la direction du Forum de Davos et
déjà en 2015 il souleva le problème du changement climatique dans la
sphère financière. Il est pareillement le fondateur de Network for Greening and Financial System,
un réseau d’une trentaine de banques centrales et d’autorités de
réglementation avec des fonds gérés de plus de 100 mille milliards de
dollars. Une dimension colossale qui vise à diriger et guider les
nouveaux processus d’industrialisation « verts » en Europe et dans le
monde.
« Les changements climatiques, expliquait-il à la
Cop 25 de Madrid, auront un impact sur chaque sphère de la finance, les
entreprises prêtes à aligner leurs affaires sur la transition vers les
émissions zéro seront récompensées adéquatement tandis que celles
incapables de s’adapter cesseront d’exister. »
Derrière les apocalyptiques scénarios de la
verte Greta se cache en somme une coûteuse révolution industrielle
voulue par les « élites » financières pour remettre en mouvement les
grandes masses d’argent indispensables pour réveiller le marché mondial.
Ce n’est pas un hasard si Christine Lagarde avant de laisser le Fond
Monétaire International, en septembre 2019, pour occuper, dès novembre
2019, le fauteuil de Mario Draghi comme présidente de la Banque centrale européenne (BCE), a
de nombreuses fois insisté sur la nécessité de mettre la lutte contre
le changement climatique « au centre de la mission de la BCE et de
chaque institution ».
Une invitation immédiatement saisie par la Présidente de la Commission de l’Union Européenne, Ursula
Van der Leyen, qui depuis son premier jour propose l’objectif des
émissions zéro d’ici 2050 comme le nouveau mantra des politiques
économiques européennes. Un mantra qui prévoit 10 milliards de
financement. Parce que, fait comprendre Carney, les pays et les
entreprises en phase
avec l’idéologie Greta auront à disposition de l’argent et des
financements à fonds perdus. Tandis que ceux qui oseront s’y opposer
risqueront le pilori et la disparition.
La révolution verte, dont font les frais les petits, les sans-dents et les gilets jaunes, n’est que le beau prétexte imaginé par des financiers à l’altruisme mercantile et des politiciens à l’ambition mondialiste, pour rester maîtres du futur des nations et des peuples…
Francesca de Villasmundo
28/01/2020
source : https://www.medias-presse.info/les-elites-et-les-financiers-derriere-greta/116835/